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LA "GLOSSITE EXFOLIATRICE MARGINEE"

ou LANGUE "EN CARTE DE GEOGRAPHIE"

  

La glossite exfoliatrice marginée est une affection assez rare, en pratique courante, mais elle pose un problème de diagnostic et surtout de traitement. Le dictionnaire de Médecine Flammarion en donne la définition suivante: « Affection génotypique souvent associée à la langue plicaturée et caractérisée par l’existence, au niveau de la face dorsale de la langue, d’aires dépapillées, circinées, lisses, de teinte rosée, bordées par un liseré blanchâtre légèrement saillant et perpétuellement mobile qui leur donne un aspect en carte de géographie ». Définition purement descriptive qui ne livre aucun renseignement sur la cause.


            DECHAUME est un peu plus prolixe: cette glossite touche plus souvent l’enfant (première et seconde enfance), elle dure quelques mois à plusieurs années puis disparaît spontanément pour laisser place à une langue plicaturée. Le traitement est nul, d’autant plus que dans l’immense majorité des cas il n’y a pas de douleur. La syphilis, un temps incriminée, est aujourd’hui innocentée.


            En homéopathie, il n’y a pas d’explication à cette glossite. Mais il y a plusieurs médicaments pour lesquels cette glossite particulière a été observée. Il faudra bien se garder d’une prescription trop systématique, comme on le voit faire hélas trop souvent. Il ne faudra jamais prescrire TARAXACUM parce qu’il est le seul au degré fort dans le Répertoire de KENT, ou NATRUM MURIATICUM parce que plusieurs ouvrages affirment son indication pour cette glossite chez l’enfant. Le meilleur résultat sera obtenu, ou en tout cas pourrait l’être, si l’on peut retrouver l’ensemble des symptômes du patient dans la pathogénésie d’un médicament. L’approche globale et l’ensemble des symptômes caractéristiques restent la clé du succès en homéopathie.


Selon le Répertoire de KENT:


            TARAXACUM est le seul au degré fort.


            Au degré moyen: Arsenicum album, Kali bichromicum, Lachesis, Natrum muriaticum, Ranunculus sceleratus, Rhus toxicodendron et Terebenthina.


            Au degré faible: Antimonium crudum, Chamomilla, Lycopodium, Mercurius, Nitri acid., Sulfuric acid. et Thuya.

            Enfin, au gré de lectures d’ouvrages, il faut ajouter: Phytolacca, Natrum sulfuricum et Sanicula aqua.



Un peu de Matière Médicale



            Il faut souligner d’emblée que parmi les médicaments cités, il est rare que la langue géographique soit précisée ensuite dans la Matière Médicale. Cela représente une difficulté, en tout cas dans l’exposé de ce sujet.


TARAXACUM:

Taraxacum dens leonis est le pissenlit (composée) dont la pathogénésie aurait été réalisée par Hahnemann. Selon D. Demarque et collaborateurs, « l’observation clinique lui a attribué une action de drainage hépatique (Chelidonium, Carduus marianus) particulièrement lorsque le malade présente une langue en carte de géographie: la langue blanche montre des zones rouges dépapillées, irrégulières, parfois sensibles (Natrum muriaticum) ».


            Notons au passage la sagesse des homéopathes d’utiliser le nom latin de chaque substance, plante en particulier. Le pissenlit est appelé « dent de lion », « florin d’or », « Laitue de chien », « couronne de moine » ou encore « salade de taupe ». Ces dernières se nourrissent sans doute des racines, elles sont bien placées pour cela !  Il semble que les vertus thérapeutiques aient été méconnues dans l’Antiquité puisqu’il faut attendre le XVI°siècle pour qu’un médecin (Bock en 1546) lui reconnaisse des vertus diurétiques. Il faut attendre ensuite le début du XX° siècle pour voir son usage se répandre (taraxothérapie). Dans un article assez bref (« Le propagateur de l’homéopathie » 1931 n°9), Antoine NEBEL affirme que pendant longtemps il n’a utilisé ce médicament que sur le signe de langue en carte de géographie, notamment lors de troubles digestifs printaniers. Il rappelle l’habitude empirique de cures de pousses de pissenlit au printemps, en salade, en soupe, hachées ou cuites. Il propose même une recette de laxatif « agréable » (sic): pousses de pissenlit cuites avec des pruneaux, quelques feuilles de séné et du sucre. Il rappelle aussi l’action du pissenlit dans l’énurésie diurne des enfants (d’où son nom).

Henri VOISIN précise le contexte hépato-digestif: troubles digestifs assez vagues (goût légèrement amer, éructations amères, flatulence, constipation, douleurs au foie, frilosité après avoir mangé ou bu, céphalées temporales ou occipitales, légères crises bilieuses printanières, somnolence à l’immobilité et intolérance aux aliments gras qui provoquent des nausées).


            L’examen montre un foie gros et induré (surtout le lobe moyen), des gargouillements dans le sigmoïde, parfois la langue géographique et souvent un sub-ictère. La congestion du système porte explique l’atteinte veineuse des membres inférieurs (douleurs < debout et assis).


            Dans la même revue, on trouve un schéma du Dr Maurice FORTIER-BERNOVILLE expliquant les points suivants:          TARAXACUM atteint le noyau de la cellule hépatique (comme PHOSPHORUS), CHELIDONIUM et LYCOPODIUM le lobule hépatique, CARDUUS MARIANUS et SEPIA surtout la veine porte.


            Le contexte est ainsi précis et condamne la prescription de ce médicament sur le seul signe de la langue géographique, même s’il est au degré fort dans le Répertoire de Kent.


            TARAXACUM est surtout un remède de troubles hépatiques chroniques. Mais il peut être indiqué occasionnellement dans un embarras gastro-hépatique aigu, ou lors d’un état bilieux avec ictère, hépatite, le tout avec des nausées, des éructations amères, une hypersalivation et la langue géographique. Cette dernière peut se voir aussi au cours d’un état typhique accompagné de douleurs déchirantes des membres inférieurs.


            La conclusion est que ce médicament n’est pas prescrit par le chirurgien-dentiste car le signe local, ici la langue géographique, n’est qu’un élément d’un ensemble hépato-digestif.



NATRUM MURIATICUM:


            Pour ce médicament, VANNIER et POIRIER précisent : « LANGUE EN CARTE DE GEOGRAPHIE avec îlots rouges et zones dépapillées (Arsenicum album., Ranunculus sceleratus, Taraxacum.) ».


            HAHNEMANN qui a réalisé la première pathogénésie ne parle pas de ce symptôme.  JAHR, dans son « Nouveau manuel de médecine homéopathique » (Baillière et fils - 1872) n’en parle pas non plus, pas plus que KENT d’ailleurs qui ne consacre aucun paragraphe à la bouche et aux dents de ce remède!!! On pourrait ainsi citer toutes les Matières Médicales, rares sont celles qui mentionnent ce signe.

    

            A notre avis personnel, la langue géographique se rencontre surtout chez l’enfant NATRUM MURIATICUM, avec le plus souvent une absence totale de signe inflammatoire au niveau de la langue. L’enfant ne s’en plaint pas.


            Il s’agit le plus souvent d’un enfant typiquement tuberculinique, même s’il est souvent en relative bonne santé. On trouve donc des signes à différents niveaux, mais au degré faible, sauf lors de périodes de troubles, souvent liés aux suites de froid, de refroidissement. Comme on le sait, cet enfant est maigre, et maigrit encore à la moindre occasion. Il est souvent pâle, anémique par  périodes. Il est vite découragé, souvent triste, solitaire, peu bavard, mais irritable lorsqu’on vient troubler sa quiétude. Son désir de sel et d’aliments salés et la soif sont épisodiques, correspondant à des moments de déshydratation. C’est alors qu’il se plaint de la sécheresse buccale et que sa lèvre inférieure est fendillée. Et c’est surtout dans ces périodes que la langue présente l’aspect d’une carte de géographie, mais sans douleurs, sans surinfection. L’enfant ne s’en rend même pas compte. Lorsqu’il y a décompensation, plusieurs secteurs sont alors touchés, notamment l’appareil respiratoire (coryza, bronchite, asthme), la peau (herpès+++). C’est surtout en cas de troubles digestifs qu’apparaît la langue géographique, avec sensation de sécheresse buccale malgré une salivation plus importante que d’habitude mais avec une salive épaisse et collante (chapelets de bulles sur les bords de la langue et des lèvres), sensation d’un cheveu sur la langue, parfois gingivorragies.  Parfois il y a une véritable hyposialie, accompagnée d’une hyposécrétion gastrique et intestinale, expliquant la sensation d’arête dans la gorge, l’atonie gastrique, la constipation avec selles sèches, etc...


            Pour le chirurgien-dentiste, l’indication de NATRUM MURIATICUM oblige à envisager le problème de la minéralisation des dents permanentes en cours chez l’enfant, avec le risque potentiel d’une dysminéralisation et donc de caries précoces et d’évolution rapide, peu après l’éruption des dents.

            


ARSENICUM ALBUM:


            Bien que cité au degré moyen par KENT pour la langue géographique, il n’en parle pas dans sa Matière Médicale, il n’évoque d’ailleurs pour la bouche que la sécheresse ! HAHNEMANN ne parle pas de la langue géographique, bien que lui-même ait ressenti une érosion sur le côté de la langue et qu’il décrit de nombreux troubles à ce niveau.


            Alors il est bien difficile de savoir avec précision dans quelle circonstance apparaît la langue géographique d’ARSENICUM ALBUM. Heureusement, il reste les autres signes, bien connus de tous.


            Quels que soient l’âge et le type clinique, l’indication d’ARSENICUM ALBUM repose sur un ensemble de signes obligatoires:


 


            Comme la glossite exfoliatrice concerne plus souvent l’enfant, selon Dechaume, voici un portrait de l’enfant Arsenicum album tel qu’on peut  le découvrir dans un chapitre du livre collectif L’Homéopathie exactement  (JOLLOIS 1990) = « Arsenicum album en pratique quotidienne » Dr Gilles Sellem.

 

            C’est un enfant pâle, le visage enflé avec des poches sous les yeux (Apis, Kali carb.), un peu raide dans sa démarche. Le sommeil est agité, surtout par des terreurs nocturnes, réveil vers 3h du matin avec agitation anxieuse, qui le fait  fuir son lit et se réfugier dans le lit des parents. L’enfant Arsenicum album est toujours en train de faire quelque chose, il ne sait rester sans activité, mais il s’épuise rapidement. « Il peut être bien, affairé, occupé avec une tendance à l’agitation pendant un moment et soudain le voilà absolument à bout de force ». On reconnaît là une tendance tuberculinique, sans doute expliquée par l’hyperthyroïdie. C’est un enfant timide, difficile à cerner, peu communicatif (comme Natrum mur.), ayant peur de ses camarades de classe, rapporteur, parfois paresseux, ses résultats scolaires sont irréguliers, mais on peut voir un enfant appliqué, méticuleux, travailleur mais vite fatigué. Encore comme Natrum mur., Arsenicum ne supporte pas qu’on le regarde. A la maison, le caractère change parce que la timidité disparaît.

 

KALI BICHROMICUM:


            Pour ce remède également, KENT qui le cite au degré moyen pour la langue géographique n’en par le pas dans sa MM, mais il décrit longuement les autres troubles linguaux: « la langue est lisse, luisante, parfois craquelée. Cela se voit dans les fièvres à forme adynamique comme la typhoïde. La langue est souvent revêtue d’un enduit épais et jaune à la base. Les papilles font saillies sur sa face dorsale (sic car y a-t-il des papilles sur la face ventrale ?), lui donnant l’aspect de la « langue framboisée ». Elle peut être recouverte d’un enduit brun.... ». Rappelons encore la sensation d’un cheveu sur la langue, les ulcérations comme à l’emporte-pièce de la langue ou de la muqueuse buccale....


            KALI BICHROMICUM est l’un des principaux médicaments d’aphtose buccale, de gingivite ulcérée, de glossite, le tout avec des douleurs erratiques, très localisées et des mucosités tenaces, filantes, épaisses qui oblige le patient à racler sa gorge surtout le matin (dans les états chroniques). La langue garde l’empreinte des dents dans les cas chroniques. C’est également un remède de troubles digestifs: dyspepsie, pyrosis, intolérance, aggravation et désir de bière, ulcère gastrique ou duodénal, céphalée d’origine digestive précédée de troubles visuels. C’est aussi un remède de rhinite aiguë ou chronique ou de sinusites frontales ou maxillaires ou de névralgies revenant chaque jour à la même heure (CEDRON).


            Il manque à KALI BICHROMICUM quelques signes psychiques pour prendre une place parmi les « grands » médicaments. Mais il faut compenser cette opinion (de M. GUERMONPREZ) en rappelant ses aspects poly-diathésiques. D’abord, les ulcérations et les douleurs ostéocopes nocturnes évoquent le mode réactionnel luétique, KALI BICHROMICUM peut être un complémentaire utile de MERCURIUS, chez de file de cette série et/ou de LUESINUM, le biothérapique diathésique.  Ensuite, il y a la périodicité et des alternances qui évoquent le mode réactionnel psorique: rhumatismes alternant avec des troubles gastriques ou avec des troubles intestinaux. On remarquera que ces alternances ne concernent pas la peau, elles traduisent donc un mode psorique déjà insuffisant. Et c’est alors qu’il faut évoquer le mode réactionnel sycotique qui se manifeste dans ce remède par la pathologie génitale, surtout féminine: leucorrhée verdâtre et épaisse, métrite, cervicite ulcéreuse, tendance aux infections et suppurations chroniques. Le mode sycotique est classiquement sollicité par la sensibilité au froid et surtout au froid humide et par la thérapeutique chimique qui est opposée aux troubles en faisant suite.


            DECHAUME affirme que la langue géographique se rencontre le plus souvent chez l’enfant. L’enfant KALI BICH. est ou bien un rachitique type tuberculinique déminéralisé ou bien un luétique gras et joufflu.


LACHESIS:


            Avec ce médicament, il semblerait que la langue géographique se voit surtout dans les états typhoïdiques, qui ne relèvent pas du dentiste. KENT décrit plusieurs aspects de la langue de Lachesis: La langue participe à l’aspect particulier de la bouche et devient lisse. Ceci se produit dans les états typhoïdes, lorsqu’il y a perte totale d’assimilation, que l’appétit a entièrement disparu, que l’estomac refuse la nourriture et que les aliments introduits dans l’estomac sont rejetés. Il y a aussi parésie de la langue. La langue ressemble à un morceau de cuir, elle se mobilise avec la plus grande difficulté. La langue gonfle et ne peut être tirée qu’avec la plus grande difficulté. Elle est sèche, s’accroche aux dents et semble avoir perdu sa consistance. Elle a l’air d’un chiffon...D’autre part, elle peut être enflée, dépouillée de ses papilles, et lisse, brillante et vitrée, comme vernie ». Il faut bien admettre que ces langues sont rarement vues au cabinet dentaire.



RHUS TOXICODENDRON:


            Encore une fois, ce médicament est cité pour la langue géographique au deuxième degré, mais dans les états typhiques, circonstance peu fréquente actuellement et surtout inconnue du dentiste. C’est dans cet état que l’on trouve les signes buccaux suivants: lèvres sèches et craquelées, herpès autour de la bouche et sur la lèvre inférieure, langue sèche, douloureuse, chargée d’un enduit blanchâtre ou brunâtre, parfois en diagonale ou d’un seul côté, sauf la pointe de la langue qui forme un triangle rouge.



RANUNCULUS SCELERATUS:


            J. MEURIS cite seulement Ranunculus bulbosus, mais le Répertoire de KENT précise ce Ranunculus sceleratus. Il s’agit d’un « petit » remède d’éruptions vésiculeuses, plus grosses que celles de Bulbosus, avec une tendance aux pustules avec sérosité irritante et enflammant le voisinage.

            

            C’est au cours d’une atteinte hépatique aiguë que paraît la langue géographique (langue douloureuse, brûlante, desquamée), accompagnée de douleur de la région hépatique avec sensation de diarrhée imminente.


TEREBENTHINA:


            L’essence de térébenthine est un « petit » remède d’inflammation des muqueuses digestives et urinaires avec tendance aux hémorragies. VANNIER et POIRIER précise seulement: langue sèche, rouge, douloureuse, lisse, VERNISSEE, papilles proéminentes, sensation de brûlure au bout de la langue, haleine fétide.


            VOISIN ajoute que les troubles de TEREBENTHINA apparaissent surtout chez des sujets âgés ou chez des sédentaires sensibles à l’humidité et mélancoliques. Cet auteur ajoute que les troubles de la langue (langue devenant rapidement, en totalité ou par places, sèche, rouge et lisse, comme vernissée, souvent douloureuse et brûlante) s’inscrivent dans un syndrome d’inflammation abdominale aigu: coliques, fort météorisme, tympanisme, diarrhée aqueuse, verdâtre, sanguinolente, fétide, brûlante..., tendance aux hémorragies intestinales.

Quelques mots sur deux  autres médicaments cités:



SANICULA  AQUA:


            Il s’agit d’une eau thermale, celle d’un lac de l’Illinois (USA).  Son expérimentation homéopathique a montré une action qui rappelle celle de NATRUM MURIATICUM: dénutrition et déminéralisation surtout chez un enfant rachitique, tuberculinique. L’amaigrissement rappelle d’autant plus Natrum mur. qu’il se produit malgré un appétit augmenté, qu’il concerne surtout le haut du corps et le cou (maigre, ridé, plissé). L’enfant a par périodes un désir de sel, de gras du jambon (Calcarea phos., Mezereum, Sanicula aqua, Tuberculinum), de lait très froid et devient frénétique dès qu’il voit un verre d’eau. Il peut souffrir d’une dyspepsie gastro-intestinale: flatulence, selles et gaz fétides (l’odeur imprègne le malade malgré les lavages), etc...


            Ce « petit » médicament mérite une étude plus détaillée, avec comparaison point par point à Natrum mur. Mais ce n’est pas le sujet ici. Cependant, on ne trouve pas mention de la langue géographique.



NATRUM  SULFURICUM:


            Ce médicament est bien connu comme l’un des principaux remèdes des troubles à différents niveaux du mode réactionnel sycotique, à sa phase hydrogénoïde. C’est aussi un médicament important de troubles hépatiques.


            Il est vraisemblable que la langue géographique soit rencontrée au cours de troubles hépato-digestifs: langue recouverte d’un enduit épais, gris verdâtre ou gris sale, avec la pointe douloureuse et brûlante, aphtes, gingivite, maladie parodontale, etc...




EN  CONCLUSION



            Comme ce signe « langue en carte de géographie » se voit tout de même assez rarement en pratique quotidienne, on ne trouve pratiquement pas d’observations cliniques qui pourraient permettre une étude plus précise. Et l’on constate une discordance que nous avons maintes fois soulignée et déplorée entre les mentions de remèdes dans le Répertoire de KENT et l’absence de ces mêmes mentions dans les Matières Médicales, même celle de cet auteur.


 

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